NOTRE-DAME DES ARMÉES A VERSAILLES
« Mon Fils désire que l’on fasse des images et des statues
me représentant ainsi,
et qu’on m’invoque sous le vocable de Reine de France »
me représentant ainsi,
et qu’on m’invoque sous le vocable de Reine de France »
En la chapelle Notre-Dame des Armées, le 8 septembre 1914, la Sainte Vierge apparut à une jeune fille, Marcelle Planchon, enfant de Marie pour lui faire part du message suivant, particulièrement important en pleine guerre et alors que l’ennemi approchait de Paris : « Si, en union avec mon divin Fils, j’aime toutes les nations qu’il a rachetées de son Sang, vois comme je chéris particulièrement ta chère patrie. Mon Fils désire que l’on fasse des images et des statues me représentant ainsi, et qu’on m’invoque sous le vocable de Reine de France. Si l’on répond à ce nouveau désir de son divin Cœur, la France redeviendra tout particulièrement mienne. Je la prendrai à jamais sous ma maternelle protection et mon Fils se plaira à répandre sur elle d’abondantes bénédictions. » Puis elle se mit à prier Jésus-Christ : « Mon Fils, pardonnez-lui, elle vous aime toujours puisqu’elle n’a jamais cessé de m’aimer. »
Au cours de cette même journée du 8 septembre, jour même de la nativité de la Sainte Vierge, Marie apparut une seconde fois « environnée de nuages », ses pieds posés sur la moitié d’un globe terrestre sur lequel était inscrit le mot « France », vêtue d’un manteau bleu, parsemé de fleurs de lys, bordé d’hermine blanche, d’une robe blanche et d’une ceinture bleue retombant en écharpe tricolore.
En ce même jour du 8 septembre 1914, dans l’après-midi, la Sainte Vierge apparut sur la Marne, face à l’armée allemande qui se dirigeait sur Paris et en arrêta la progression. Plus de 100 000 hommes la virent et certains, dont un prêtre allemand, en ont porté témoignage. Ce fut le secret du Maréchal Foch. Mais il fut alors interdit de parler de cette vision, sous peine de mort (sur cette apparition mariale, en pleine guerre, on peut utilement se référer à l’ouvrage d’Alain Denizot « Le Sacré-Cœur et la Grande guerre », aux éditions Nouvelles éditions latines).
Marcelle Lanchon revit la Sainte Vierge le 8 octobre 1916, mais auparavant, le 31 décembre 1914, elle vit le Christ Lui-même, vêtu d’une tunique blanche, portant les stigmates de Sa Passion, tenant une écharpe tricolore avec son Cœur resplendissant de lumière au milieu, ayant à ses côtés Saint Michel et Sainte Jeanne d’Arc, protecteurs de la France, . Il lui dit alors, parlant de la France : « Vois comme je la chéris, quand donc répondra-t-elle à mon plus cher désir ? Je veux voir l’image de mon Cœur peinte sur ses drapeaux ».
Le Message de Versailles rejoignait ainsi celui transmis par Claire Ferchaud au cours du même conflit mondial et celui antérieurement donné en 1675 par le Christ à Sainte Marguerite-Marie Alacoque, demandant de consacrer officiellement et solennellement la France au Cœur Sacré de Jésus.
Marcelle Lanchon devint vierge consacrée au sein de la « Pieuse Union des adoratrices du Cœur de Jésus », association de laïques, autorisée officiellement en 1939, ayant pour but le règne du Sacré-Cœur et le salut de la France. L’évêque de Versailles, Mgr Roland-Gosselin, autorisa l’impression de l’Image de Marie, Reine de France, ainsi que la prière révélée, qu’il a indulgenciée.
Chapelle Notre Dame des Armées
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